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Wine Paris – Salon international des vins et spiritueux : un rendez-vous important pour nos filières, une ouverture sur la France et sur le monde

Lundi 10 février, j’étais présente à l’inauguration du salon Wine Paris aux cotés des ministres Annie Genevard, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire de la France, Laurent Saint-Martin, ministre chargé du Commerce extérieur et des Français de l’étranger et Nathalie Delattre, ministre chargé du Tourisme.

– Avec Laurent Saint-Martin, et Jean-François Portarieu, co-président du groupe d’études sur la vigne et le vin dont je suis membre, nous avons échangé avec les acteurs de la filière vin sur les défis et opportunités du secteur.
– Un déjeuner enrichissant avec la Maison des Vins et Spiritueux, représentée par son président Jean-Pierre Cointreau, Jérôme Perchet, président de la fédération française des vins d’apéritif, Michel Chapoutier, président de l’Union des maisons et marques de Vin avec mes collègues du groupe d’études Vin et Vigne.
– Échanges l’après-midi avec les producteurs de vin et des spiritueux de Nouvelle-Aquitaine, du Sud-Ouest et du Centre-Val de Loire.
– Conférence sur la transition agroécologique en viticulture avec Moët-Hennessy.

Un moment fort pour réaffirmer notre soutien à cette filière d’excellence, qui fait briller la France à l’international !

Retour sur la visite de la présidente de l’Assemblée nationale en Charente

Le 31 janvier, j’ai eu l’honneur d’accueillir en Charente Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, pour son 53ème déplacement officiel.
C’est un événement historique : jamais la Charente n’avait accueilli le 4e personnage de la République, selon les archives de la préfecture.

Une immersion culturelle au Festival de la BD

La journée a démarré en immersion au Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême. Ce rendez-vous mondialement reconnu incarne à la fois l’ancrage local et l’ouverture sur le monde. Passionnée de mangas et engagée en faveur de l’accès à la culture pour les jeunes, Yaël Braun-Pivet a découvert les expositions, exploré le quartier dédié à la bande dessinée japonaise et échangé avec les organisateurs ainsi qu’avec le maire d’Angoulême.

Au cœur du patrimoine et de l’excellence locale

Ensuite, direction Segonzac, berceau d’un savoir-faire ancestral : la production de cognac. Accueillie par la maison Cognac Frapin, la présidente de l’Assemblée nationale a visité les chais et la distillerie, avant d’échanger sur les défis et ambitions de la filière, avec ses représentants par famille.

Echanges directs avec les citoyens lors d’un déjeuner à la mairie de Segonzac

Un moment de dialogue et de convivialité a par la suite été organisé à la mairie de Segonzac avec les forces vives du territoire : entrepreneurs, associations et élus. Ces échanges directs ont permis de mettre en lumière des initiatives locales dynamiques et porteuses d’avenir.

Un engagement pour le numérique inclusif

Enfin, cap au sud de la circonscription, à Montmoreau, où l’accès au numérique est un enjeu majeur. Ensemble, nous avons visité l’Espace Numérique Sud Charente, une initiative essentielle soutenue par les collectivités locales, le Département et l’Etat. Ce lieu incarne une réponse concrète aux besoins des habitants en matière d’inclusion et d’accompagnement numérique.

Un grand merci !

Cette journée riche en rencontres et en échanges n’aurait pas été possible sans l’engagement de toutes celles et ceux qui ont contribué à son succès. Merci aux organisateurs, aux élus, aux acteurs économiques et associatifs, et à tous ceux qui font vivre notre territoire au quotidien !
Je tiens à remercier celles et ceux qui ont aidé à la réussite de chacune de ses étapes !

Photographies : Mathieu Martines / équipe parlementaire

« Cumul des mandats » : une idée révolue ?

Au niveau national comme local, le débat sur le « cumul des mandats » refait surface. Cette proposition vise à permettre aux parlementaires de retrouver un exécutif local (maire, maire-adjoint, président ou vice-président d’une collectivité) ou vice-versa, dix ans après l’entrée en vigueur de la loi sur le non-cumul.

Pour ma part, je ne voterai certainement pas en faveur de ce retour, et ce pour plusieurs raisons.

Dans un contexte d’urgence national, ce n’est pas vraiment la priorité. Sommes-nous, avec cette idée, en train d’apporter une réponse adaptée à l’urgence et à la responsabilité que méritent nos concitoyens ? Je ne le pense pas. Les français percevraient une loi conçue par et pour les élus eux-mêmes, de manière évidente, comme un coup porté à leur confiance, un message d’irresponsabilité politique.

Le renouvellement démocratique serait menacé. En tant qu’élue issue de la société civile, je mesure ce que la loi de 2014 a permis. En 2017, elle a marqué un véritable tournant en ouvrant les portes de l’Assemblée nationale à des profils nouveaux, issus de différents horizons, et non seulement à des figures locales déjà installées. Cette diversité dérange-t-elle certains ? Certainement. Mais devrais-je moi-même renier l’opportunité qui m’a été donnée de représenter dignement mon territoire et ses habitants, sans passer par les « codes » traditionnels de la notabilité locale…

Revenir au cumul reviendrait à sous-entendre qu’un élu local est plus légitime pour devenir parlementaire. Mais faut-il nécessairement être un élu local pour comprendre et représenter la diversité des Français : monde économique, associatif, rural ou urbain, je ne suis pas convaincue.

Des solutions restent à explorer. En réalité, cette proposition remet à l’ordre du jour une critique infondée : celle des parlementaires issus de la société civile, jugés « déconnectés ». Pourtant, à l’aube de mon troisième mandat, je peux garantir à quiconque que ces années m’ont permis de prouver que l’on peut représenter efficacement les charentais et charentaises tout en venant d’un autre parcours.

Enfin, il convient de rappeler que le cumul existe encore sous d’autres formes : un parlementaire peut cumuler plusieurs fonctions locales non-exécutives, et les élus locaux peuvent cumuler des exécutifs. Peut-être devrions-nous réfléchir à une réforme plus large, comme celle du conseiller territorial, pour améliorer notre organisation sans revenir au cumul.

Dans ces temps complexes, l’humilité, l’écoute et le sens des priorités doivent guider nos choix.

Ce qui change au 1er décembre 2024

Source : Gouvernement

Versement de la prime de Noël, ouverture de la plateforme Parcoursup… découvrez ce qui change à partir du 1er décembre2024 :

Prime de Noël
La prime de Noël est versée automatiquement le 17 décembre aux ménages bénéficiaires de minima sociaux par la Caisse d’allocations familiales (Caf) ou la Mutuelle sociale agricole (MSA).
Son montant varie en fonction de la composition du foyer.

Parcoursup
Le site Parcoursup ouvre le 18 décembre 2024, avec des fiches de formations détaillant les dates de journées portes ouvertes, les débouchés professionnels et les poursuites d’études.
Nouveauté cette année : une rubrique fournit des données sur le profil des candidats admis des années précédentes et sur la réussite et l’insertion professionnelle liées à chaque formation.
Découvrez le calendrier Parcoursup 2025 (lien hypertexte : https://www.parcoursup.gouv.fr/calendrier)

Consultation à 30 euros
Le tarif de la consultation chez le médecin généraliste passe à 30 euros à partir du 22 décembre, à la suite d’un projet d’accord finalisé par l’Assurance maladie et les syndicats de médecins libéraux.

Communiqué de presse – 8 novembre 2024

« Ce matin, mon équipe à Jarnac a découvert un message de menace en arrivant à la permanence, ce qui a nécessité l’intervention des forces de l’ordre et des pompiers.

Après avoir mis en sécurité les élèves du collège et leurs encadrants, une vérification complète des locaux a été effectuée. Les habitants des environs ont également été informés de la situation. Aucun incident n’a été relevé. »

Cliquez sur l’image ci-dessous pour lire l’intégralité du communiqué.

Lettre d’information annuelle

J’ai le plaisir de vous adresser ma lettre d’information annuelle #6.

Très attachée à rendre compte de mon action, c’est l’occasion pour moi également de vous présenter mes actions menées sur l’année 2023-2024, en Charente et à Paris, de prendre un peu de recul sur une actualité incessante.

Distribuée dans toutes les boites aux lettres de la circonscription entre le 4 et le 8 novembre, elle est également accessible en ligne sur mon site internet, en cliquant sur ce lien ou en vous rendant dans la rubrique « Votre députée ».


 Je vous en souhaite bonne lecture !

Concernant les urgences de l’hôpital de Barbezieux-Saint-Hilaire

Dès le début de la mobilisation pour la sauvegarde du service des urgences de l’hôpital de Barbezieux-Saint-Hilaire, j’ai participé aux échanges avec les différents acteurs concernés. Lors de la réunion organisée le jeudi 5 octobre par le président du Conseil de surveillance, maire de Barbezieux, j’ai réaffirmé mon engagement pour préserver l’accès aux soins de proximité et ne pas fragiliser les dynamiques d’attractivité pour les professions de santé sur ce secteur.

Si le décret n°2023-1374 du 29 décembre 2023 fixe les conditions d’implantation d’antennes de médecine d’urgence, cette disposition, basée sur un rapport parlementaire soumis au ministre de la Santé, et qui s’appuie notamment sur les statistiques de passages aux urgences, après échanges avec les acteurs notamment de l’Agence Régionale de Santé, il semble qu’une approche pragmatique soit choisie pour établir la réalité du service rendu dans nos zones rurales et particulièrement Barbezieux. L’idée est de définir un diagnostic régional dans les semaines à venir, et de montrer qu’en maintenant un dialogue constructif avec l’ensemble des parties prenantes, nous parviendrons à identifier des solutions adaptées aux spécificités de notre territoire.
L’engagement des élus, des professionnels de santé, ainsi que la mobilisation citoyenne sont des forces indéniables qui devraient plaider en faveur de la préservation d’un service de santé de proximité.

Un échange avec Monsieur le Préfet de Charente m’a convaincue qu’il porterait l’enjeu de cette localisation du service d’urgence dans l’avis qu’il aura à donner dans le cadre de cette consultation régionale de l’Agence de Santé.

Le Sud-Charente mérite un service de santé à la hauteur des besoins de sa population, et je ne ménagerai aucun effort pour y parvenir.