Les temps forts du mois
- Inaugurations d’équipements publics,
- Accompagnement des acteurs économiques,
- Ateliers de réflexion,
- Assemblées générales à Paris et en circonscription,
- Travail en commission et auditions …

Parce que les ruralités ne sont pas uniformes, il est indispensable de leur apporter donc des réponses multiples. Il est essentiel d’adapter l’action publique aux spécificités de chaque territoire pour les accompagner au mieux dans leurs transitions.
Pour mémoire, ce sont 22 millions de Françaises et de Français vivent dans les territoires ruraux et 88% de nos communes qui le sont.
Depuis 2017, les parlementaires et le Gouvernement ont agi pour tenir la promesse de cohésion des territoires en apportant des solutions concrètes aux besoins des habitants
création de l’ANCT,Maisons France Services, plan Très Haut Débit, lancement de l’Agenda Rural…
France Ruralités promeut une vision positive de nos ruralités parce qu’elles accueillent une large part des ressources naturelles de notre pays, elles sont des terres d’opportunité placées au coeur de la transition écologique et des grandes transitions auxquelles nous faisons face.
Fruit de 11 mois de travaux, de discussions, de déplacements, de consultation avec les acteurs de la ruralité, les associations, les élus, les entreprises et les habitants, cette nouvelle politique pour nos territoires se déclinera autour de 4 axes .
Soutenir les villages dans leurs projets : Villages d’Avenirs
Parce que le sentiment d’inégalité pouvant exister en milieu rural vient du fait que les Français ne voient pas la réponse à leurs besoins du quotidien. Nous devons accompagner les maires de petites communes à trouver les bons interlocuteurs pour construire leurs projets.
100 chefs de projet seront installés dans les sous-préfecture des territoires les plus ruraux pour réaliser un pré-diagnostic avec les acteurs locaux et participer à la réalisation du projet
Nous devons nous appuyer sur ce qui fonctionne : partir du terrain et accompagner les maires, de l’idée au projet.
Reconnaître et rémunérer les richesses naturelles en ruralités
Les territoires ruraux sont au coeur de la transition écologique, mais ils sont également les premiers concernés par le dérèglement climatique. Nous définirons et reconnaitrons dans la loi les aménités rurales et les rémunèrerons grâce à la transformation de la dotation biodiversité en augmentant son montant de 40M€ à 100M€.
Nous devons aider les communes rurales à entretenir leur patrimoine naturel, c’est un enjeu pour l’atteinte de nos objectifs en matière de transition écologique.
Apporter des solutions aux besoins quotidien des territoires ruraux
Nous devons démontrer que l’action publique bénéficie aussi à la ruralité.
Refonder les zones de revitalisation rurale
Nos territoires ruraux font face à des difficultés économiques plus prégnantes qu’ailleurs, ils ont besoin d’attirer des entreprises, des artisans, des commerces… Nous devons zoner les communes rurales qui en ont besoin en limitant les effets d’éviction liés à la maille intercommunale du zonage actuel.
Sur chacun de ces axes nous mettrons en place des indicateurs de mesure pour évaluer et ajuster si besoin le déploiement de France Ruralités.
« France Ruralités, c’est le plan de l’ensemble des acteurs de terrain qui chaque jour se démènent pour que les habitants ruraux puissent vivre mieux. C’est à eux que nous souhaitons donner une boîte à outil pour changer le quotidien. » Elisabeth Borne, Première ministre.
Pour aller plus loin : https://www.gouvernement.fr/actualite/presentation-du-plan-france-ruralites-par-elisabeth-borne
La Première ministre Elisabeth Borne a présenté les 76 premiers lauréats sélectionnés avec un soutien financier de l’Etat pour 2,4 millions d’euros au global, et qui permettront à plus de 45 000 Français de bénéficier d’un commerce de proximité. Tout au long de l’année, de nouveaux projets seront étudiés et sélectionnés pour être accompagnés dans leur démarche.
En trois mois, ce sont plus de 350 projets qui ont été déposés auprès des préfectures. La Première ministre a également annoncé que le programme de reconquête du commerce rural serait prolongé pour trois ans.

Ce dispositif s’inscrit dans le plan « France Ruralités » initié par la Première ministre Elisabeth Borne pour la cohésion des territoires et adapté à leurs spécificités.
IMPORTANT :
Le programme de reconquête du commerce rural apporte un soutien à l’installation en ruralité de commerces sédentaires multi-services ainsi que de commerces itinérants permettant de desservir plusieurs communes rurales, avec des aides à l’investissement pouvant aller jusqu’à 80 000 € pour des projets sédentaires et 25 000€ pour des projets non sédentaires.
Pour candidater, les porteurs de projet peuvent déposer un dossier de candidature directement sur la plateforme dédiée via le lien suivant : https://fondscommerce.anct.gouv.fr/.
Pour plus d’information :
https://agence-cohesion-territoires.gouv.fr/accompagnement-linstallation-decommerces-en-milieu-rural-1058
27 mai 1943 – Jean Moulin crée le Conseil de la Résistance, devenu Conseil National de la Résistance
Le CNR est la plus haute institution de la France clandestine, créée en mai 1943 par Jean Moulin, selon les instructions du général de Gaulle, instituant un organisme représentatif de toutes les tendances politiques de la Résistance.
Composé de seize membres (huit représentants des mouvements de résistance, six des partis politiques et deux des syndicats), il se réunit pour la première fois le 27 mai 1943, au 48, rue du Four, à Paris, sous la présidence de Jean Moulin et permet au général de Gaulle, arrivant à Alger, de se réclamer de la Résistance intérieure unie et d’affirmer sa légitimité vis-à-vis du général Henri Giraud et des Alliés.
Après l’arrestation de Jean Moulin à Caluire (21 juin 1943), le CNR se donne un nouveau président, Georges Bidault.
A travers les commissions héritées des divers mouvements, le CNR a préparé la mise en place des comités de libération, les mesures concernant la presse et surtout élaboré le « programme d’action de la Résistance » (mars 1944), véritable charte des mesures politiques, économiques et sociales à prendre à la Libération, et qui sont à l’origine des grandes réformes de l’après-guerre (nationalisations, Sécurité sociale, par exemple).
En circonscription, de belles commémorations !




A Châteauneuf-sur-Charente, Madame Gros-Duruisseau, survivante du camp de Ravensbrück âgée de 98 ans témoigne non seulement du quotidien de la Résistance en Charente, mais également du calvaire de la Déportation, durant lequel Marcelle Nadaud, héroïne castelnovienne et institutrice pendant les années de guerre, périra.
Avec le nom de Marcelle Nadaud inscrit au fronton de son école communale, Châteauneuf sur Charente fait vivre auprès des enfants comme des parents d’élèves la mémoire du courage, de la liberté et de la fidélité à un idéal.
A Barbezieux, au cœur du collège, le principal et les autorités représentant les anciens combattants ont eux aussi commémoré l’unification des réseaux de résistance. Il est crucial que nos jeunes générations s’imprègnent de ces valeurs de courage, de résilience, et d’espoir en des lendemains de liberté. En soulignant l’exemplarité des héros ordinaires de la résistance, c’est une certaine idée de la société et de la France qui perdurent.
A Angoulême, au jour anniversaire de cette création par le Préfet d’Eure-et-Loir qu’était Jean Moulin, la Préfète de Charente préside la cérémonie départementale, marquant ainsi que si un Etat félon abdiquait sa souveraineté pour une idéologie abjecte, les grands serviteurs de l’Etat demeuraient fidèles à une haute idée de la République, et parfois étaient prêts à mourir pour elle.
Retour sur les principaux engagements du Président Macron

Regarder le discours en intégralité ici

Le projet de réaménagement de la RN 141 à hauteur de la traversée de Malvieille est sur des rails. Comme nous l’avions collectivement souhaité par un courrier à la Première ministre en novembre dernier, les études d’opportunité sont en cours . Elles répondent à la nécessité d’évoluer et de s’adapter aux nouvelles normes environnementales liées à la sobriété foncière et aux émissions de gaz à effet de serre, mais aussi au besoin de respecter la biodiversité telle qu’elle s’est adaptée depuis les travaux de terrassement.
Nous démarrons la phase de concertation, qui s’inscrit dans un calendrier plus général allant jusqu’en 2027.
Ce calendrier doit en fait être borné à décembre 2026 pour la fin des études et l’inscription d’une première phase de travaux, afin de garantir que le CPER de 2027-2032 portera effectivement sur la poursuite de la mise en oeuvre concrète. Je partage à cet égard l’analyse des partenaires, et insiste particulièrement sur ce point.
Modalités de concertation
Pour s’informer :
En mairie de Hiersac et Moulidars et en réunion publique et ici
Pour participer :
Avec 2 ateliers thématiques

Le Président de la République a présenté jeudi 30 mars le « Plan eau », une des priorités de la planification écologique du Gouvernement.
Il est composé d’une série de mesures visant à redéfinir notre politique de gestion de l’eau pour l’adapter aux enjeux du changement climatique, en tendant vers un système plus sobre, plus résilient et mieux concerté pour gérer cette
ressource stratégique.
Composé de 53 mesures, le Plan eau du Gouvernement s’oriente sur deux objectifs :
Plusieurs outils vont être développés au sein de ce plan, avec notamment la mise en place d’un « Ecowatt de l’eau », qui permettra à chacun de connaître les restrictions qui s’appliquent en fonction de sa géolocalisation et de sa catégorie d’usager, et les écogestes recommandés au regard de la situation hydrologique locale.
Par ailleurs, les 50 sites industriels qui ont le plus gros potentiel de baisse de consommation d’eau, dont la plupart sont des centrales nucléaires, seront réunis prochainement afin de les engager sur un programme d’investissement pour fonctionner davantage en circuit fermé et ainsi augmenter les économies d’eau.
Pour adapter notre politique de l’eau aux enjeux du changement climatique, le Gouvernement va mettre les moyens : chaque année, par un investissement conjoint de l’État et des collectivités, ce sont près de 500 millions d’euros
supplémentaires qui seront mobilisés pour y parvenir.
Je vous propose désormais une petite animation vidéo pour illustrer le quotidien de ma mission.
Tous les temps forts, à Paris comme circonscription.
Hausse des plafonds pour ma Prim’Renov au 1er février 2023
Pour MaPrimeRénov sérénité, qui concerne les travaux de rénovations permettant un gain énergétique d’au moins 35 %, les plafonds seront revalorisés de 30 000 à 35 000 € pour les ménages les plus modestes.
Le dispositif MaPrimeRénov Copropriétés est pérennisé et renforcé. Les plafonds de travaux finançables passent de 15 000 euros à 25 000 euros.