J’ai assisté à la cérémonie de remise de brevets de pilotes de chasse, de navigateurs officiers systèmes d’armes ainsi que des pilotes à distance à la base aérienne 709 à Châteaubernard, présidée par le général d’armée aérienne Luc de Rancourt, inspecteur général des armées – Air et Espace. L’occasion pour moi de rappeler le soutien indéfectible de l’Assemblée nationale aux armées, qui protègent, chaque jour, la Nation.
Le Gouvernement renforce le dispositif d’accompagnement des TPE et des PME face aux hausses des prix de l’électricité en 2023
Depuis plusieurs semaines, le gouvernement mène des consultations avec les entreprises et les organisations professionnelles représentant les artisans, TPE, PME pour accompagner au mieux les entreprises face à la hausse des prix de l’énergie.
QUAND ?
À partir du 1er janvier 2023, toutes les TPE et les PME éligibles au « dispositif de l’amortisseur électricité » et qui rempliraient toujours, après prise en compte du bénéfice de l’amortisseur, les critères d’éligibilité au guichet d’aide au paiement des factures d’électricité et de gaz pourront cumuler les deux dispositifs et déposer une demande d’aide sur le site impots.gouv.fr.
POUR QUI ?
Seront éligibles les TPE et les PME dont les dépenses d’énergie représentent 3% du chiffre d’affaires 2021 après prise en compte de l’amortisseur, et dont la facture d’électricité après réduction perçue via l’amortisseur, connaît une hausse de plus de 50% par rapport à 2021.
En complément, les conseillers départementaux de sortie de crise seront mobilisés pour accompagner au cas par cas les entreprises connaissant des difficultés du fait de la hausse des prix de l’énergie. Ces conseillers peuvent accompagner une entreprise en difficulté dans les demandes d’aide au paiement des factures d’électricité et de gaz et octroyer des facilités de paiement ou des reports de charges fiscales et sociales au cas par cas.
Ouverture de la Convention citoyenne sur la fin de vie par la Première ministre
Le président de la République a annoncé en septembre le lancement d’un débat consacré à la fin de vie, conformément à ses engagements de campagne, et l’organisation d’une Convention citoyenne par le Conseil économique, social et environnemental. La Première ministre, accompagnée du ministre délégué chargé du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement, et de la ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, ont lancé les travaux de la Convention citoyenne sur la fin de vie le vendredi 9 décembre.
Une question clé Composée de 150 citoyens volontaires et tirés au sort, la convention citoyenne sera chargée de répondre à la question suivante : « Le cadre d’accompagnement de la fin de vie est-il adapté aux différentes situations rencontrées ou d’éventuels changements devraient-ils être introduits ? ».
Les conclusions de la Convention citoyenne sur la fin de vie seront rendues à la fin du premier trimestre 2023 et permettront d’éclairer la réflexion du Gouvernement sur ce sujet.
ACCÉLÉRATION DE LA PRODUCTION DES ÉNERGIES RENOUVELABLES : un texte à forts enjeux
La majorité présidentielle fait le choix d’accélérer sur toutes les EnR et pas seulement sur l’éolien terrestre, comme voudraient le faire croire certaines oppositions (nucléaire, biométhane, photovoltaïque, éoliennes marines). Ainsi nous réaffirmons notre politique responsable pour : – lutter contre le réchauffement climatique – faire face à la crise énergétique (objectif 40% d’énergie issue des EnR en 2030 pour toute l’UE) – redonner du pouvoir d’achat aux Français – soutenir la compétitivité des entreprises.
Dans le même temps, nous faisons confiance aux élus locaux, qui sont au centre de la planification et ont le pouvoir de définir les zones d’implantation, en donnant des outils de cartographie aux communes. Nous encadrons simultanément l’agrivoltaïsme, en ouvrant aux agriculteurs la possibilité d’un complément de revenu mais en empêchant par la loi toute dérive d’occupation des terres agricoles. Enfin, nous simplifions et accélérons les procédures (pour réduire la durée des contentieux) et raccordements, pour libérer également du foncier dégradé. Nous portons l’ambition de recenser tous les endroits du territoire où on peut faire des EnR. Objectif final : produire français, car 65% de notre énergie provient actuellement d’énergies fossiles importées.
Examen en commission
Ce sont pas moins de 350 amendements qui ont été adoptés au sein des deux commissions ( DDAT et affaires économiques), après avis de 4 rapporteurs. Notre but, malgré l’ajout de 73 articles, était de respecter les grandes lignes de la dynamique impulsée au Sénat. Nous avons travaillé sereinement, dans un climat apaisé, grâce notamment à la méthode de travail en dialogue permanent de la Ministre Agnès Pannier-Runacher et le très gros travail effectué par le groupe LIOT, la gauche ayant adopté une démarche plutôt constructive sur ce sujet
Ce second projet de loi de finances rectificative (PLFR-II) est un texte qui s’inscrit dans la continuité de nos engagements pour les Français. Notre engagement pour leur pouvoir d’achat d’abord. Face à l’inflation et à la flambée des prix de l’énergie, nous protégeons les ménages les plus modestes. Notre engagement pour la maîtrise de nos dépenses publiques également. Depuis plus de cinq ans, nous avons un crédo : ni dette, ni impôt supplémentaire. Avec ce PLFR, nous ramenons le déficit sous la barre des 5%.
Ce PLFR-II est essentiel pour les Français, pour nos entreprises et nos administrations. Ces nouvelles mesures, nous pouvons les prendre grâce à notre sérieux budgétaire. Bon nombre d’élus des oppositions ont reconnu l’importance et le sérieux de ce texte : ils n’ont d’ailleurs pas fait d’obstruction.
LES PRINCIPALES MESURES
Pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, nous débloquons près de 2,4 milliards d’euros pour permettre aux Français, aux entreprises et aux opérateurs de l’État de résister au choc inflationniste.
Pour permettre à 12 millions de ménages français de payer leurs factures d’énergie, nous engageons 1,9 Md€ supplémentaire pour financer le versement de chèques énergie exceptionnels de 100€ ou 200€ et pour prolonger la remise de 30 centimes par litre de carburant.
Pour nos agriculteurs qui, cette année encore, n’ont pas été épargnés par les aléas climatiques, nous mobilisons 450 M€ pour les indemniser de leurs pertes.
Pour les étudiants et les demandeurs d’emploi, nous renforçons l’apprentissage et la formation professionnelle avec l’allocation de 2 Md€ supplémentaires à France Compétences.
Pour renforcer le soutien que nous apportons à l’Ukraine, nous doublons le fonds de soutien militaire pour le porter à 200 M€.
Les députés votent les lois et ils contrôlent l’action du gouvernement. Mais leur rôle ne s’arrête pas là. L’évaluation des lois est aussi une des missions importantes qui leur est confiée.
Dans ce cadre, au sein de la commission des affaires économiques, je me suis vu confier une mission d’évaluation d’une partie de la loi du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, dite « loi Climat ». J’ai ainsi entrepris une série d’auditions afin de constater la mise en œuvre des textes règlementaires issus de la loi. Ce point d’étape est aussi un moyen de confronter la législation à la réalité du terrain, de faire le constat des réussites et éventuellement des freins que l’on peut rencontrer.
Par exemple, le « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN) est un objectif à 2050 fixé par la loi. Il est fréquent que certains acteurs fassent référence à cet objectif, expliquant qu’il serait déjà mis en œuvre. Pourtant, le législateur a seulement adopté un objectif de réduction de moitié de l’artificialisation dans les dix ans à venir (article 194, dit « article 49 »), avec une ventilation territoriale en fonction des situations locales (situations économiques et démographiques, efforts passés, et grands projets). Pour autant, en adoptant un tel rythme de consommation, la France resterait le pays européen le plus consommateur de foncier.
Une autre partie de la mission porte sur les dispositions qui visent à accélérer et renforcer la dynamique de rénovation énergétique des logements, en renforçant d’une part les obligations auxquelles sont soumis les propriétaires, et d’autre part, en regard de ces évolutions, en augmentant l’accompagnement financier et en ingénierie des différents donneurs d’ordre, du diagnostic aux travaux.
Je présenterai mon rapport à la commission des affaires économiques le mercredi 14 décembre prochain.
Par ailleurs, en tant que membre du comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques, j’ai également été désignée pour porter une mission d’évaluation de la prise en compte du retrait-gonflement des argiles.
Ce phénomène décrit les mouvements de contraction et d’expansion des sols argileux sous l’effet des cycles de sécheresse et de pluie. Cela s’aggrave tous les ans à cause du changement climatique, et cause des dégradations structurelles importantes – fissures, dislocation des dallages et des encadrements de porte – dans les habitations situées sur des terrains argileux. En France, plus de 10 millions de maisons sont concernées, et nous en avons un certain nombre en Charente.
Comme l’ont montré plusieurs rapports, les coûts des réparations sont importants et le système d’indemnisation, mal adapté. Le droit à indemnisation dépend en effet de plusieurs conditions restrictives, à commencer par la reconnaissance de l’état de « catastrophe naturelle » dans la commune. En conséquence, les droits peuvent varier considérablement d’une commune à l’autre alors même que les situations rencontrées sont identiques.
Les axes de travail de cette mission viseront à renforcer à la fois les droits des sinistrés, le financement du régime d’indemnisation « catastrophes naturelles » et la résilience des futures maisons. Je rendrai mon rapport en début d’année 2023.
C’est à vos côtés que j’ai effectué mes premiers déplacements.
Du sport !
Je me suis rendue à l’Assemblée Générale de l’association Cognac Basket Avenir, en présence de nombreux élus. Une Assemblée Générale dans la bienveillance et la sympathie, et ayant une vision de la place du basket et du club sur le territoire. Quelques jours plus tard, je me suis rendue avec mon suppléant Ludovic Massacret à l’anniversaire du club Jarnac Sports Basketball, qui fêtait ses 80 ans. Nous avons assisté à un match handisport dans une ambiance conviviale. A l’issue, nous avons eu l’occasion de tester leur équipement, pas facile mais instructif ! Point information : le club Jarnac Sports Basketball est en recherche de partenaires et sponsors.
« Il faut remercier les bénévoles, joueurs, salariés et partenaires qui font vivre ces belles associations ! Je souhaite à l’ensemble des clubs sportifs de la circonscription, une année pleine de réussite.«
De la culture !
– En plus d’être riche d’évènements sportifs, la circonscription bénéficie de moments privilégiés, comme la foire de Barbezieux où plus de 260 exposants proposaient leur dynamisme ainsi que leur savoir-faire. Je suis allée au contact avec les services de l’État et les élus auprès des différentes entreprises, qui font la richesse de tout le territoire !
La circonscription accueille aussi son festival de musique classique, « Piano en Valois ». La programmation a été dévoilée en conférence de presse avec un impromptu par Rémi Panossian : 33 concerts raviront l’ensemble du département.
– À Cognac, je me suis rendue à l’inauguration du mur Klesia dans le cadre du projet Vélo d’Vie Cognac et Inside Out Project (projet d’art participatif et international initié par l’artiste français JR).
Du développement !
– Je me suis rendu à Yviers, pour l’inauguration du bourg, qui a bénéficié d’une nette amélioration, et qui est devenu un lieu agréable à vivre et sécurisé.
– Martine CLAVEL, nouvelle Préfète de la Charente a été nommé dans l’été, et j’ai eu le plaisir de la recevoir à ma permanence afin d’échanger sur les sujets importants de la deuxième circonscription, mais aussi pour lui faire découvrir ce territoire très riche, et audacieux.
– J’ai inauguré avec grand plaisir la centrale solaire Valeco à Bors-de-Montmoreau, en compagnie des élus et des partenaires ayant travaillé sur le projet. C’est tout l’enjeu du futur projet de loi sur l’accélération des énergies renouvelables qui arrive cet automne au parlement. Je le soutiendrai et il doit aller dans le sens d’une meilleure acceptabilité des énergies renouvelables. L’installation de telles infrastructures permettra à long terme d’atténuer les conséquences du réchauffement climatique, et contribue dès aujourd’hui à notre mix énergétique comme à l’amélioration de notre souveraineté énergétique. Au total, la Charente connaît près de 2 121 heures de soleil par an, ce qui la classe au 19ème rang des départements les plus ensoleillés. C’est donc un département où le déploiement de telle infrastructure est indispensable !
Nous devons tous collectivement œuvrer pour relever les défis de la souveraineté énergétique de la France.
De la solidarité !
Cet été, le sud-Charente a été victime de nombreux incendies criminels. Dès les premiers départs de feux, je me suis entretenue avec les représentants de l’Union départementale des pompiers de la Charente afin de faire un point sur la situation dantesque des opérations.
Par la suite, de nombreux autres incendies ont fait des ravages, je me suis donc rendue sur les communes de Courgeac, Nonac et Saint-Martial où j’y ai rencontré les élus et les responsables des sapeurs-pompiers de la Charente afin de saluer leur immense travail et les remercier pour leur mobilisation. Il est important pour moi de leur apporter mon soutien et de prendre en compte leur retour d’expérience. Plusieurs propositions sont nées de nos échanges comme la nécessité de mieux entretenir nos bois et nos forêts, de répertorier et responsabiliser les propriétaires et les exploitants forestiers ; d’aménager les accès et de prévoir des points d’eau permettant une meilleure intervention de nos sapeurs-pompiers mais aussi renforcer nos forces de l’ordre avec la formation de 3000 gendarmes verts qui seront plus particulièrement sensibilisés aux infractions environnementales dont les incendies volontaires font partie.
Présentation du texte avant son examen à l’Assemblée nationale et au Sénat
Le Gouvernement a présenté lundi 26 septembre le projet de loi de finances pour 2023. Alors que les incertitudes se multiplient à l’échelle mondiale, l’économie et l’emploi résistent dans notre pays. En 2023, le Gouvernement maintiendra des mesures de protection fortes pour les Français.
Cette ambition renouvelée s’articulera avec une maîtrise des dépenses publiques pour stabiliser le solde public à 5,0 % du PIB en 2022 comme en 2023. Le déficit budgétaire de l’État se réduira de 14 milliards d’euros, à 158 milliards en 2023. Le poids de la dette publique baissera de 111,5 % du PIB en 2022 à 111,2 % fin 2023 et les dépenses de l’État se réduiront de 2,6 % en volume par rapport à 2022.
Le projet de loi de finances pour 2023 traduit les grandes priorités gouvernementales. – Pour renforcer la protection des Français : Ce budget poursuit le réarmement des missions régaliennes de l’État, avec une hausse majeure de 3 milliards d’euros en 2023 pour le ministère des armées, conformément à la loi de programmation militaire (LPM), un renforcement substantiel des moyens et des effectifs du ministère de l’intérieur et une nouvelle hausse de 8 % du budget du ministère de la justice. o En 2023, nous amplifierons également notre action en matière de transitions écologique et climatique, en mettant notamment en place un fonds vert d’1,5 milliard d’euros dédié à l’accélération de la transition écologique dans les territoires et en renforçant les moyens dédiés à la rénovation énergétique, au verdissement des transports du quotidien et à la stratégie nationale pour la biodiversité. o Parce que nous devons tout à la fois protéger les Français face à l’inflation et les accompagner pour atteindre le plein-emploi, nous investirons massivement pour l’emploi, la formation et l’apprentissage, dans la perspective d’atteindre un million d’apprentis d’ici à 2027. Par ailleurs, pour mettre en œuvre la revalorisation des salaires des enseignants, le budget du ministère chargé de l’éducation nationale augmentera de 3,7 milliards d’euros.
– Pour protéger le pouvoir d’achat des Français, dans le contexte de hausse des prix : o Indexation du barème de l’impôt sur le revenu sur le niveau de l’inflation et la poursuite du bouclier tarifaire énergétique en 2023, pour un coût de 16 milliards d’euros. o Réduction de la fiscalité en proposant la suppression en deux ans de la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), qui accroîtra la compétitivité des entreprises françaises, notamment dans le secteur industriel, et participera à l’atteinte de l’objectif de plein emploi.
J’ai tenu à rencontrer personnellement les représentants des entreprises de Charente, les directions du SDEG 16 et du BNIC pour dresser un diagnostic à l’instant T des risques liés à la crise énergétique que traverse le pays. Leur point commun est bien entendu la crainte du délestage, et quels seront les critères en cas de nécessité de coupure .
Pour l’électricité, la hausse des coûts entraine un fort risque pour 14 entreprises charentaises. Il faudra suivre au plus près l’application des plans de soutien.
Pour la filière Cognac, c’est la fourniture de gaz qui est au centre des préoccupations. Ce sont notamment 3000 alambics qui se retrouvent face au risque, et il s’agit de lever les interrogations. Une clarification des modalités de décision est en cours avec les services de la Préfecture, et le sous préfet de Cognac suit le dossier avec grande vigilance Autre question soulevée : l’accompagnement des entreprises dans leur transition énergétique. Les délais d’autorisation sont particulièrement longs, et les assureurs ne couvrent pas tous les risques sur le photovoltaïque.
J’ai interrogé le Ministre Roland Lescure en commission sur ces aspects cruciaux. (voir la vidéo)
Enfin, le SDEG s’interroge sur la possibilité de véritablement négocier les marchés de fournitures d’électricité. Aucune clause revoyure des prix n’est actuellement prévue. Or la volatilité des tarifs, si elle a été jusqu’en 2021 bien maîtrisée au bénéfice des collectivités adhérentes, c’est désormais le contraire.
Je poserai une question écrite au Gouvernement à ce sujet
Question à M. Roland Lescure, ministre délégué à l’industrie, en Commission affaires économiques 20 Sept 2022.
Les premières semaines de débat parlementaire au sein de l’Assemblée nationale auront été consacrées à la nécessaire protection du pouvoir d’achat des Français face à l’inflation. Revalorisation du travail, revalorisation des retraites, soutien aux plus fragiles par la hausse des minima sociaux, blocage des prix de l’énergie… C’est le travail que nous avons engagé et les lois que nous avons votées.
Les grandes avancées :
Revalorisation au 1er juillet de 4 % pour
Les retraites de base
Le RSA
La prime d’activité
L’Allocation adulte handicapé
L’ensemble des prestations sociales,
Les APL
Limitation de la hausse des loyers à 3,5%
Lutte et sanctions renforcées face au démarchage frauduleux et pratiques commerciales abusives
Simplification des résiliations de contrats commerciaux (téléphonie mobile et internet, plateformes de streaming) et les contrats d’assurance, de mutuelle et de complémentaire santé. Le consommateur pourra résilier un contrat par voie électronique dès lors qu’il a été conclu en ligne -sur internet ou application mobile.
Pour que le travail paye toujours mieux :
Triplement de la prime défiscalisée et sans charge dite Macron
Encouragement de l’intéressement
Revalorisation de 4% de la prime d’activité
Pour contrer les effets de l’inflation sur l’énergie,
Sécuriser l’approvisionnement de la France en gaz naturel
Une mesure complémentaire phare :
La déconjugalisation de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) et la création d’un dispositif transitoire permettant aux allocataires de bénéficier du régime qui leur est favorable, avec une entrée en vigueur de la réforme au plus tard au 1er octobre 2023
Vous le savez, depuis le début de la crise sanitaire, notre unique préoccupation est de protéger notre économie et les forces vives qui l’animent au quotidien. Grâce aux multiples dispositifs de soutien que nous avons déployés, le taux de chômage a reculé à 7,3 %, le plus bas niveau depuis près de 15 ans.
La France est aujourd’hui une terre d’investissements, une terre d’innovation, attractive et moderne. C’est le résultat de l’engagement de l’ensemble des chefs d’entreprise, notamment de nos TPE et PME, sur l’ensemble de nos territoires. Il nous faut poursuivre cette dynamique et continuer de soutenir les forces vives de notre pays, qui font vivre nos concitoyens, et créent de l’emploi.